Messagepar thiery » 04 août 2018 20:39
Bonsoir
Je suis tombé sur cet acte dans des recherches sur Saint Omer.
Il est le seul dans ce que j'ai lu, à avoir cette particularité. Pourtant les effectifs de prêtres, curés, chapelains, aumoniers, nonnes, moines, jésuites, jésuites anglais, écossais,cordeliers, maristes, soeurs blanches, grises, noires, ursulines... devaient être énormes.
Ca ne doit donc pas être un honneur particulier qui lui semblait du, ni une mode, de bons curés, il devait y en avoir quelques uns quand même...
il en mourait souvent.
L'officiant mentionne le son des cinq cloches qui elles devaient participer au cérémonial. Dans d'autres actes on trouve une mention de messe des anges pour un enfant décédé à une dizaine d'années, ou de l'accompagnement au demi-bourdon qui devaient être partie du cérémonial requis dans certaines conditions, dont nous avons perdu le sens, comme pour la couleur de l'étolle par exemple.
Là, je crois que cest comme nous quand on jouait au pendu en cours de math ou de philo en se posant la seule question qui vaille : y aura t'il des frites à la cantine?.
Bref, je soupçonne l'officiant de s'être ennuyé à la messe et d'avoir fait semblant de s'occuper en écrivant sur le registre.
Curé, il reste humain avant tout
C'est pour cela que j'y voyais l'inventeur du smiley....
Cordialement
Thierry
La tradition, c'est nourrir la flamme, pas vénérer les cendres... G. Mahler