Bonjour,
Mon ancêtre Alphonse LARISTAN a été abandonné à TOURNAI (Belgique) le 07/03/1831.
Sur l'acte de naissance il est indiqué qu'il a été remis à l'administration des hospices.
Aucune autre marque de distinction n'a été trouvée, il a été inscrit sous les nom et prénom d'Alphonse LARISTAN.
Y a-t-il une possibilité d'en savoir plus ? Où puis-je me renseigner ?
Habitant à 800 km de la Belgique, j'aimerai pouvoir obtenir des infos pour savoir où m'adresser.
Merci à l'avance.
Dominique THIBAUT
ABANDON A TOURNAI
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Re: ABANDON A TOURNAI
Bonsoir Thibaut,
Je sais que l'AGHB (Association généalogique du Hainaut Belge) antenne de Tournai a travaillé sur les enfants trouvés... contactez :
Martine Lezy-Demets : martine.lezy@swing.be
ou
Damien Desqueper : dades@skynet.be
Ils pourront peut être vous en dire plus ou tout au moins si vous avez une chance d'en savoir plus sur votre ancêtre !
Cordialement et très bonne année à tous !
Marie de la Drôme
Je sais que l'AGHB (Association généalogique du Hainaut Belge) antenne de Tournai a travaillé sur les enfants trouvés... contactez :
Martine Lezy-Demets : martine.lezy@swing.be
ou
Damien Desqueper : dades@skynet.be
Ils pourront peut être vous en dire plus ou tout au moins si vous avez une chance d'en savoir plus sur votre ancêtre !
Cordialement et très bonne année à tous !

Marie de la Drôme

[size=85][color=#BF40BF]Marie MARTIN-DUMONT
AGHB et Généànouzeaut - CEGD - "Racines" (Lallaing- France)[/color][/size]
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Re: ABANDON A TOURNAI
Bonjour Dominique,
Les registres des enfants abandonnés sont conservés non pas aux Archives de l'Etat mais au Musée de Folklore à Tournai où l'on peut voir également le "tour d'abandon" où les nourrissons étaient déposés. Les actes de "naissance" sont riches de détails notamment sur les vêtements que portait l'enfant et sur les sommes versées à ceux qui le recueillaient, dans de plus ou moins bonnes conditions car beaucoup d'entre eux mouraient en bas âge. Votre ancêtre a donc de la chance d'avoir survécu !
Quelqu'un pourra peut-être faire le déplacement pour vous et recueillir les renseignements que vous recherchez.
Bonne chance et bonne année !
Geneviève
Les registres des enfants abandonnés sont conservés non pas aux Archives de l'Etat mais au Musée de Folklore à Tournai où l'on peut voir également le "tour d'abandon" où les nourrissons étaient déposés. Les actes de "naissance" sont riches de détails notamment sur les vêtements que portait l'enfant et sur les sommes versées à ceux qui le recueillaient, dans de plus ou moins bonnes conditions car beaucoup d'entre eux mouraient en bas âge. Votre ancêtre a donc de la chance d'avoir survécu !
Quelqu'un pourra peut-être faire le déplacement pour vous et recueillir les renseignements que vous recherchez.
Bonne chance et bonne année !
Geneviève
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Re: ABANDON A TOURNAI
Bonjour,
Un grand merci à tous pour les précieux conseils, et bonne et heureuse année 2010.
Cordialement,
Dominique THIBAUT
Un grand merci à tous pour les précieux conseils, et bonne et heureuse année 2010.
Cordialement,
Dominique THIBAUT
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Re: ABANDON A TOURNAI
Bonjour,
L'histoire des enfants trouvés à Tournai est relativement bien connue ; plusieurs historiens locaux se sont penchés sur elle.
Pratiquée de tous temps, l'exposition des enfants a été punie jusqu'au 18e siècle.
En 1811, parut un décret impérial traitant des enfants dont l'éducation était confiée à la charité publique ; l'article trois du décret portait :
"Dans chaque hospice destiné à recevoir des enfants trouvés, il y aura un tour où ils devront être exposés"
En 1811, un tour fut donc installé à Tournai, dans la rue Saint-Martin, à l'entrée du porche monumental de l'hôtel de ville où un agent était chargé de recueillir les enfants qu'on y déposerait. Un procès-verbal était dressé puis consigné dans de gros registres, indiquant le jour et l'heure de l'exposition, les nom et prénom donnés à l'enfant, son âge apparant, la description de ses vêtements, et, éventuellement, les marques distinctives dont il était porteur.
Ces registres restent intéressant à consulter. Les volumes 1 et 2 ont disparus, restent les volumes 3 à 7 couvrant la période de mai 1820à février 1835.
L'officier d'état civil était chargé d'imposer un nom et un prénom à l'enfant. Une étude sur le choix des noms et prénoms dont affublait ces enfants serait très utile, souvent ridicules et dont l'étrangeté révélait donc facilement le secret de leur naissance. On trouvera par exemple Onésime ALCITHOE, Euphémie TRIGALISSE, Euphrasie MULCIBE, Sidonie PODALIZE, Zélie TRICEPHAL, Isabelle MINOTAURE, Lactance ARTABAN, Polonie ATERGANIS, etc... On a ainsi l'impression que les employés d'état civil se sont inspirés successivement, pou l'atribution de ces noms et prénoms, d'un ouvrage de mythologie grecque, d'une histoire de l'Empire romain et d'un atlas de géographie.
Certains de ses enfants devinrent célèbres comme Eugène EREBE sculpteur et homme de lettres ou Alexis SARAGOSSE « simple desprit » populaire à Tournai et qui fut immortalisé dans les géants de Tournai.
Les enfants trouvés étaient confiés à des « pères et mères nourriciers » qui y voyaient surtout loccasion dun gain supplémentaire. On en retrouve beaucoup placés dans des fermes du Tournaisis (à Esplechin, Rumes ou Taintignies par exemple). La mortalité parmi ces enfants est importante, près de la moitié natteignant pas lâge dun an.
Début 1835, le tour fut supprimé suite à un arrêté de la régence (le coût des frais dentretien de ses enfants devenant trop important pour les communes).
Source : Les enfants trouvés à Tournai dans la première moitié du XIXe siècle par le chanoine A. MILET, publié en 1979 dans « le Hainaut Occidental dans le miroir dun journal régional 1829-1979 » (livre édité dans le cadre du 150e anniversaire du journal tournaisien « Le Courrier de lEscaut »)
On trouve ainsi dans les registres de létat civil de Tournai, la mention de 1547 enfants déposés au tour entre 1812 et 1835.
Comme dit plus haut une partie des registres où étaient mentionnés les procès-verbaux établis lorsquon déposait un enfant dans le tour, sont conservés au musée de Folklore à Tournai.
Concernant Alphonse LARISTAN, voici ce qui est dit :
Lan mil huit cent trente et un, le sept du mois de mars, les soussignés, Meneur et Préposé au placement des enfants trouvés et abandonnés, déclarent que la veille à six heures et demi du soir, il a été trouvé au tour de cette ville, un enfant de sexe masculin paraissant nouvellement né, vêtu dune chemise, deux bonnets, lun de mousseline brodée et lautre de toile de coton blanc, un cotin de toile peinte fonds blanc à fleurs rouges, deux langes, deux enveloppes de couverture de laine blanche.
Nayant aucune marque distinctive qui pût le faire reconnaître.
Rien de plus malheureusement. Parfois on retrouve les noms, prénom et domiciles des pères et mères nourriciers chez qui étaient placés les enfants abandonnés. Ce nest pas le cas ici.
Voilà tout ce que je peux dire sur ce sujet.
Personnellement, je serai interessé par toute information concernant le devenir de cet enfant (lieu et date de mariage et de décès, descendance). Ces informations seront communiquées aux archives de létat à Tournai qui envisagent, un jour, de faire une publication sur ce sujet. Mais pour cela, il faut encore retrouver la trace de nombreux de ces enfants dont on ne connait pas le devenir.
Cordialement,
Damien DESQUEPER
Association Généalogique du Hainaut Belge www.aghb.org
L'histoire des enfants trouvés à Tournai est relativement bien connue ; plusieurs historiens locaux se sont penchés sur elle.
Pratiquée de tous temps, l'exposition des enfants a été punie jusqu'au 18e siècle.
En 1811, parut un décret impérial traitant des enfants dont l'éducation était confiée à la charité publique ; l'article trois du décret portait :
"Dans chaque hospice destiné à recevoir des enfants trouvés, il y aura un tour où ils devront être exposés"
En 1811, un tour fut donc installé à Tournai, dans la rue Saint-Martin, à l'entrée du porche monumental de l'hôtel de ville où un agent était chargé de recueillir les enfants qu'on y déposerait. Un procès-verbal était dressé puis consigné dans de gros registres, indiquant le jour et l'heure de l'exposition, les nom et prénom donnés à l'enfant, son âge apparant, la description de ses vêtements, et, éventuellement, les marques distinctives dont il était porteur.
Ces registres restent intéressant à consulter. Les volumes 1 et 2 ont disparus, restent les volumes 3 à 7 couvrant la période de mai 1820à février 1835.
L'officier d'état civil était chargé d'imposer un nom et un prénom à l'enfant. Une étude sur le choix des noms et prénoms dont affublait ces enfants serait très utile, souvent ridicules et dont l'étrangeté révélait donc facilement le secret de leur naissance. On trouvera par exemple Onésime ALCITHOE, Euphémie TRIGALISSE, Euphrasie MULCIBE, Sidonie PODALIZE, Zélie TRICEPHAL, Isabelle MINOTAURE, Lactance ARTABAN, Polonie ATERGANIS, etc... On a ainsi l'impression que les employés d'état civil se sont inspirés successivement, pou l'atribution de ces noms et prénoms, d'un ouvrage de mythologie grecque, d'une histoire de l'Empire romain et d'un atlas de géographie.
Certains de ses enfants devinrent célèbres comme Eugène EREBE sculpteur et homme de lettres ou Alexis SARAGOSSE « simple desprit » populaire à Tournai et qui fut immortalisé dans les géants de Tournai.
Les enfants trouvés étaient confiés à des « pères et mères nourriciers » qui y voyaient surtout loccasion dun gain supplémentaire. On en retrouve beaucoup placés dans des fermes du Tournaisis (à Esplechin, Rumes ou Taintignies par exemple). La mortalité parmi ces enfants est importante, près de la moitié natteignant pas lâge dun an.
Début 1835, le tour fut supprimé suite à un arrêté de la régence (le coût des frais dentretien de ses enfants devenant trop important pour les communes).
Source : Les enfants trouvés à Tournai dans la première moitié du XIXe siècle par le chanoine A. MILET, publié en 1979 dans « le Hainaut Occidental dans le miroir dun journal régional 1829-1979 » (livre édité dans le cadre du 150e anniversaire du journal tournaisien « Le Courrier de lEscaut »)
On trouve ainsi dans les registres de létat civil de Tournai, la mention de 1547 enfants déposés au tour entre 1812 et 1835.
Comme dit plus haut une partie des registres où étaient mentionnés les procès-verbaux établis lorsquon déposait un enfant dans le tour, sont conservés au musée de Folklore à Tournai.
Concernant Alphonse LARISTAN, voici ce qui est dit :
Lan mil huit cent trente et un, le sept du mois de mars, les soussignés, Meneur et Préposé au placement des enfants trouvés et abandonnés, déclarent que la veille à six heures et demi du soir, il a été trouvé au tour de cette ville, un enfant de sexe masculin paraissant nouvellement né, vêtu dune chemise, deux bonnets, lun de mousseline brodée et lautre de toile de coton blanc, un cotin de toile peinte fonds blanc à fleurs rouges, deux langes, deux enveloppes de couverture de laine blanche.
Nayant aucune marque distinctive qui pût le faire reconnaître.
Rien de plus malheureusement. Parfois on retrouve les noms, prénom et domiciles des pères et mères nourriciers chez qui étaient placés les enfants abandonnés. Ce nest pas le cas ici.
Voilà tout ce que je peux dire sur ce sujet.
Personnellement, je serai interessé par toute information concernant le devenir de cet enfant (lieu et date de mariage et de décès, descendance). Ces informations seront communiquées aux archives de létat à Tournai qui envisagent, un jour, de faire une publication sur ce sujet. Mais pour cela, il faut encore retrouver la trace de nombreux de ces enfants dont on ne connait pas le devenir.
Cordialement,
Damien DESQUEPER
Association Généalogique du Hainaut Belge www.aghb.org
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Re: ABANDON A TOURNAI
Bonsoir Damien,
Merci beaucoup pour ces informations concernant les abandons..
Je suis vraiment désolée de ne pas avoir plus de renseignement concernant mon ancêtre.
N'y a- t-il a vraiment aucun espoir de savoir où Alphonse LARISTAN a été placé ?
C'est mon arrière arrière grand père dont je porte le nom...
Vous signalez que les noms pouvaient être trouvés sur des atlas. Je pense que c'est le cas puisque ce nom est une province de l'Iran.
Je ne possède pas non plus actuellement sa date de décès.
Cordialement,
Dominique LARISTAN/THIBAUT
Merci beaucoup pour ces informations concernant les abandons..
Je suis vraiment désolée de ne pas avoir plus de renseignement concernant mon ancêtre.
N'y a- t-il a vraiment aucun espoir de savoir où Alphonse LARISTAN a été placé ?
C'est mon arrière arrière grand père dont je porte le nom...
Vous signalez que les noms pouvaient être trouvés sur des atlas. Je pense que c'est le cas puisque ce nom est une province de l'Iran.
Je ne possède pas non plus actuellement sa date de décès.
Cordialement,
Dominique LARISTAN/THIBAUT
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Re: ABANDON A TOURNAI
Bonjour Damien, bonjour Dominique, bonjour à tous,
Comme Dominique, j'ai été très intéressée par la longue réponse de Damien, mon arrière-arrière-grand-mère ayant également été déposée au Tour de Tournai en 1826, et je voudrais lui poser quelques questions.
1547 enfants ont donc été déposés au Tour entre 1812 et 1835.
Si l'on considère que près de la moitié de ces enfants sont décédés avant l'âge d'un an et que beaucoup d'autres ont dû mourir dans leur petite enfance, voire à l'adolescence, à combien peut-on estimer le nombre des survivants ? Une étude a-t'elle déjà été faite ? Existe-t'il une liste des noms ? De combien d'entre eux, les archives ont-elles récupérés la trace ?
Je regrette d'habiter Marseille car j'aurais été passionnée par ce genre de recherche !
J'aimerais aussi aider Dominique qui, comme moi, vit loin de la Belgique.
Que peut-elle nous apprendre d'autre sur Alphonse LARISTAN. Sait-elle où il s'est marié, où il a vécu, combien il a eu d'enfants, où ils sont nés, etc. ?
Bien cordialement,
Geneviève
Comme Dominique, j'ai été très intéressée par la longue réponse de Damien, mon arrière-arrière-grand-mère ayant également été déposée au Tour de Tournai en 1826, et je voudrais lui poser quelques questions.
1547 enfants ont donc été déposés au Tour entre 1812 et 1835.
Si l'on considère que près de la moitié de ces enfants sont décédés avant l'âge d'un an et que beaucoup d'autres ont dû mourir dans leur petite enfance, voire à l'adolescence, à combien peut-on estimer le nombre des survivants ? Une étude a-t'elle déjà été faite ? Existe-t'il une liste des noms ? De combien d'entre eux, les archives ont-elles récupérés la trace ?
Je regrette d'habiter Marseille car j'aurais été passionnée par ce genre de recherche !
J'aimerais aussi aider Dominique qui, comme moi, vit loin de la Belgique.
Que peut-elle nous apprendre d'autre sur Alphonse LARISTAN. Sait-elle où il s'est marié, où il a vécu, combien il a eu d'enfants, où ils sont nés, etc. ?
Bien cordialement,
Geneviève
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Re: ABANDON A TOURNAI
Bonjour Damien, Bonjour Geneviève, bonjour à tous,
Le sujet est passionnant et je me pose les mêmes questions que Geneviève.
a-t-on établi une liste des "abandonnés" survivants et savoir où ils ont pu être "placés" ?
Comme Geneviève, je regrette de ne pas aller sur place pour faire "les fouilles".
Mais je n'abandonne pas l'espoir d'y séjourner un jour....
bonne journée à tous
Dominique THIBAUT
Le sujet est passionnant et je me pose les mêmes questions que Geneviève.
a-t-on établi une liste des "abandonnés" survivants et savoir où ils ont pu être "placés" ?
Comme Geneviève, je regrette de ne pas aller sur place pour faire "les fouilles".
Mais je n'abandonne pas l'espoir d'y séjourner un jour....
bonne journée à tous
Dominique THIBAUT
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Re: ABANDON A TOURNAI
Re bonjour Dominique,
En attendant la réponse de Damien Desqueper, voici en substance ce que m'avait écrit Lucien Jardez, l'ancien conservateur, aujourd'hui décédé, du musée de Folklore à Tournai où sont les registres et le tour.
Les enfants qui n'étaient pas confiés à une famille d'accueil, étaient placés en crèche, à l'hospice civil ou à l' institution de Monnel dont les archives ont été détruites en mai 1940 (Tournai a subi de très lourds bombardements pendant la dernière guerre mondiale). Plus grands, ils pouvaient recevoir des bourses d'étude : les garçons étudiaient aux Arts et métiers, c'étaient les "Collets verts" (un élément de leur uniforme). Les filles "les châles verts" apprenaient la couture et les soins du ménage.
Les archives ayant disparu, nous devrons sans doute nous contenter de ces indications.
Savez-vous quel métier exerçait Alphonse LARISTAN ? Cela pourrait peut-être vous éclairer sur la voie qu'il a suivie ?
Amicalement,
Geneviève
En attendant la réponse de Damien Desqueper, voici en substance ce que m'avait écrit Lucien Jardez, l'ancien conservateur, aujourd'hui décédé, du musée de Folklore à Tournai où sont les registres et le tour.
Les enfants qui n'étaient pas confiés à une famille d'accueil, étaient placés en crèche, à l'hospice civil ou à l' institution de Monnel dont les archives ont été détruites en mai 1940 (Tournai a subi de très lourds bombardements pendant la dernière guerre mondiale). Plus grands, ils pouvaient recevoir des bourses d'étude : les garçons étudiaient aux Arts et métiers, c'étaient les "Collets verts" (un élément de leur uniforme). Les filles "les châles verts" apprenaient la couture et les soins du ménage.
Les archives ayant disparu, nous devrons sans doute nous contenter de ces indications.
Savez-vous quel métier exerçait Alphonse LARISTAN ? Cela pourrait peut-être vous éclairer sur la voie qu'il a suivie ?
Amicalement,
Geneviève
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Re: ABANDON A TOURNAI
Bonsoir Geneviève,
Comme indication, je n'ai que "journalier" ; voilà le métier qui le concernait.
Je ne sais pas si cela laisse un espoir d'en savoir plus.
Encore merci et bonne soirée
Dominique
Comme indication, je n'ai que "journalier" ; voilà le métier qui le concernait.
Je ne sais pas si cela laisse un espoir d'en savoir plus.
Encore merci et bonne soirée
Dominique
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