aïe aïe aïe mon latin!!!
En réponse à Graffit
"Florido" est un prénom masculin à l'ablatif, nominatif "floridus"(pas "fleurus").
du latin "flos", floris, d'où dérivés.
Ces personnes avaient manifestement un faible pour les fleurs, cf. patronyme "Florin" (Petrus Josephus)
Marie
Prénoms normands d´autrefois
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MariedeBlyau
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francoise
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Re: Prénoms normands d´autrefois
Merci à tous, alors il n´y a pas de traduction comme par exemple Petrus, Pierre. Fleury reste Fleury.
Cordialment
Françoise
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MariedeBlyau
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Re: Prénoms normands d´autrefois
Qu'aurait-on pu dire à ESTAIMPUIS d'où provient l'acte? Au bistrot du coin, j'entendrais plutôt "Flore". "Et toi, Flore qu'est-ce que t'en penses"? (=prénom masculin)
Il me semble en avoir eu un dans mon arbre généalogique.
Bon dimanche.
Marie
Il me semble en avoir eu un dans mon arbre généalogique.
Bon dimanche.
Marie
Modifié en dernier par MariedeBlyau le 09 oct. 2016 11:52, modifié 2 fois.
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† graffit
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Re: Prénoms normands d´autrefois
Bonjour Françoise:)
C'est donc du français que vous avez trouvé avec un y Fleury
il ne faut pas le comparer à Petrus qui est un mot latin
Pensez à donner l'acte,les interprétations sont plus ciblées
Fleuri est la traduction de Florido comme je vous l'ai dit dans mon 1er messagefrancoise a écrit :Merci à tous, alors il n´y a pas de traduction comme par exemple Petrus, Pierre. Fleury reste Fleury.
Cordialment
Françoise
C'est donc du français que vous avez trouvé avec un y Fleury
il ne faut pas le comparer à Petrus qui est un mot latin
Pensez à donner l'acte,les interprétations sont plus ciblées
Amicalement Graffit 


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MariedeBlyau
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Re: Prénoms normands d´autrefois
Bonjour Françoise,
Par expérience il y a de nombreux cas où on ne traduit pas, et où il est même préférable de laisser les prénoms d'origine. Je songe au néerlandais du 19e et des siècles antérieurs, où on utilisait beaucoup de diminutifs. Il est préférable de laisser à ces prénoms leur originalité, et de respecter les appellations que nos ancêtres utilisaient eux-mêmes.
Il ne faut pas vouloir être maniaque de la traduction. "Qui traduit trahit" d'une certaine façon, comme le dit l'adage. "Traduttore traditore".
Bon dimanche.
Marie
Par expérience il y a de nombreux cas où on ne traduit pas, et où il est même préférable de laisser les prénoms d'origine. Je songe au néerlandais du 19e et des siècles antérieurs, où on utilisait beaucoup de diminutifs. Il est préférable de laisser à ces prénoms leur originalité, et de respecter les appellations que nos ancêtres utilisaient eux-mêmes.
Il ne faut pas vouloir être maniaque de la traduction. "Qui traduit trahit" d'une certaine façon, comme le dit l'adage. "Traduttore traditore".
Bon dimanche.
Marie
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dufi78
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Re: Prénoms normands d´autrefois
Bonjour,
Perso, je ne traduis jamais les prénoms entre latin/français/flamand mais je note l'usage selon les actes rencontrés, et effectivement il y a souvent des "diminutifs" en flamand avec la désinence -ke ou -ken. Parfois non transposable, plutot que traduction. Exemple : Jorynken (~ Jéromine) ou Judocus pour Joos sans réel équivalent français usité.
Sans perdre de vue que le scribe prêtre devrait de son côté traduire en latin un prénom d'usage qui bien sûr n'était pas utilisé couramment, sauf dans les actes ou parfois en signatures.
Bref... utilisez les variantes permises par votre logiciel (Hérédis pour moi) pour ne rien perdre et tout retrouver
Perso, je ne traduis jamais les prénoms entre latin/français/flamand mais je note l'usage selon les actes rencontrés, et effectivement il y a souvent des "diminutifs" en flamand avec la désinence -ke ou -ken. Parfois non transposable, plutot que traduction. Exemple : Jorynken (~ Jéromine) ou Judocus pour Joos sans réel équivalent français usité.
Sans perdre de vue que le scribe prêtre devrait de son côté traduire en latin un prénom d'usage qui bien sûr n'était pas utilisé couramment, sauf dans les actes ou parfois en signatures.
Bref... utilisez les variantes permises par votre logiciel (Hérédis pour moi) pour ne rien perdre et tout retrouver
Frédéric D.
Vous ne trouvez pas étrange qu’aujourd’hui des ordinateurs demandent à des humains de prouver qu’ils ne sont pas des robots ?
Vous ne trouvez pas étrange qu’aujourd’hui des ordinateurs demandent à des humains de prouver qu’ils ne sont pas des robots ?
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verobruno
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Re: Prénoms normands d´autrefois
Bonjour à toutes et tous
Un plaisir se poste, voici se que l'on trouve sur le net
une paronomase
qui joue sur la ressemblance des deux mots; elle est souvent utilisée dans dautres langues, en raison de sa concision et de ce jeu de mots.
Le fait de comparer un traducteur à un traître signifie que la traduction dun texte dune langue vers une autre ne peut jamais respecter parfaitement le texte de luvre originale. Beaucoup de polyglottes préfèrent lire une uvre en version originale car ils veulent la découvrir telle quelle a été créée par lauteur. Dans un cas extrême, traduire un poème en le modifiant pour garder les rimes altère singulièrement luvre du poète. Le linguiste français Georges Mounin a beaucoup travaillé sur ces « problèmes théoriques de la traduction ».
Le traducteur Pierre Leyris (qui a entre autres traduit luvre dHerman Melville) répond à cette critique en affirmant : « Traduire, cest avoir lhonnêteté de sen tenir à une imperfection allusive ».
Un plaisir se poste, voici se que l'on trouve sur le net
une paronomase
qui joue sur la ressemblance des deux mots; elle est souvent utilisée dans dautres langues, en raison de sa concision et de ce jeu de mots.
Le fait de comparer un traducteur à un traître signifie que la traduction dun texte dune langue vers une autre ne peut jamais respecter parfaitement le texte de luvre originale. Beaucoup de polyglottes préfèrent lire une uvre en version originale car ils veulent la découvrir telle quelle a été créée par lauteur. Dans un cas extrême, traduire un poème en le modifiant pour garder les rimes altère singulièrement luvre du poète. Le linguiste français Georges Mounin a beaucoup travaillé sur ces « problèmes théoriques de la traduction ».
Le traducteur Pierre Leyris (qui a entre autres traduit luvre dHerman Melville) répond à cette critique en affirmant : « Traduire, cest avoir lhonnêteté de sen tenir à une imperfection allusive ».
Cordialement
Bruno
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vos qui transitis memores nostri quoque sitis. quod sumus hoc eritis, fuimus quandoque quod estis
Bruno
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