Consultation des archives de + de 100 ans

[rivpas]

Bonjour à Toutes et Tous

Dans certaines communes (pas bien grosses, quelques centaines d'habitants et une mairie ouverte que certains jours), j’éprouve des difficultés à pouvoir consulter les registres et/ou les tables décennales de plus de 100 ans.

C’est très désagréable quand on a fait plusieurs centaines de kilomètres de ce voir refuser l’accès à des documents permettant d’avancer dans ses recherches.

Y a t’il un fondement juridique pour m’interdire l’accès ? Que dois-je faire avant mon déplacement ou lorsque je suis sur place face à ce mur d’incompréhension qu’est l’administration française et ses centaines de notes et circulaires ?

D'avance, je vous remercie de votre aide.

Cordialement.

Pascal
Chti en Auvergne (jusqu'à la retraite)

[dumontnicole]

bonjour Pascal
il est vrai que certaines mairies freinent des 4 pattes pour que nous ayons l'acces aux precieux registres que sont les registres d'etat civil
pour eviter de faire une grande route pour rien moi je telephone avant car même si certaines nous ouvrent leur portes il faut parfois prendre rdv car rie n'est prevu pour en faire la lecture je ne suis vu malgre s avoir pris rdv et à cause d'un doublon devoir lire les registres dans une piece pas plus grande q'une armoire à balai egt nous étions deux l'autre personne venait d'Aveyron Cela dit le personnel était charmant ce qui est déjà beaucoup
nicole

[rivpas]

Bonjour Nicole,

Merci pour la réponse.

A vrai dire, c'est la première fois que je suis confronté à ce refus : "allez voir aux archives départementales" alors que l'employée avait, à sa disposition les tables décennales qui auraient permis de vérifier si mon arrière Grand-Mère était bien native de cette toute petite commune.

D'autant plus que la dite employée porte le même patronyme peut-être une cousine, allez savoir.

Je pense que beaucoup d'encre va encore couler sur ce sujet et ce tant que les administratifs n'arrêteront pas d'agir "en maître" confortés par les tonnes de circulaires et notes qui les entourent. Parfois même au mépris de la loi.

Cordialement.

Pascal