Bonjour à tous ,
[quote="loiseau"]Bonjour tout le monde.
Je crois qu'il s'agit là d'une question d'époque, et peut etre de lieu .
.
D'ailleurs, en parlant de curé, c'était peut être lui qui détenait la clé de tout cela, la religion tenait auparavant une place plus importante . Et les curés n'aiment pas les filles mères. Il s'agissait donc de "réparer" le plus rapidement possible. Mais certaines n'ont jamais avoué, et le mystère sur la paternité de l'enfant est resté entier . J'en ai plusieurs cas dans ma généalogie.
effectivement dans les années 1900 être fille-mère (quel qualificatif...)ou être batard (même reflexion) était honteux ,mon pére qui était un enfant naturel reconnu à l'âge de 5 ans par le mariage de sa mére avec un homme qui n'etait pas le pére génétique en a voulu toute sa vie à ma grand-mére ,les enfants naturels étaient aussi mal traités que leur mère
En ce qui concerne les curés ,sans faire une généralité ,ils pouvaient être le père de ces enfants naturels,forcément ,les bouches étaient closes ..
bonne journée
Amicalement
Fille mère du millieu du XIX au début du XX siécles [Résolu]
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Re: Fille mère du millieu du XIX au début du XX siécles
Michellemarie :-"
Les cimetières sont pleins de gens irremplaçables, qui ont tous été remplacés.
Les cimetières sont pleins de gens irremplaçables, qui ont tous été remplacés.
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Re: Fille mère du millieu du XIX au début du XX siécles
J'ai le même pb avec mon GPm né en 1872 à Paris. J'ai eu derniérement son acte de naissance : sa mére est portée avec la mention "d'origine suisse" par les voisins venus déclarer l'enfant. Il a en suite été abandonné et élevé à Orchies ( 59).je n'arrive pas à aller plus loin car il n'en a en a jamais parlé à ma mére.
jmb
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