Deûlémont : Militaire mort accidentellement en 1917 ?

[MICHELCOUSIN04]

Bonjour à tous,

Je m'interroge sur les circonstances de la mort d'un aïeul figurant en tant que mort pour la France sur le monument aux morts de Deûlémont. Il s'agit de Omer Henri HORENT ° 1877 à Deûlémont, d'abord meunier puis, d'après sa fiche militaire, soldat-musicien détaché à la Poudrerie Nationale de Bergerac en décembre 1915 où il est décédé le 23 septembre 1917, selon la transcription de son acte de décès établi à Deûlémont qui n' en indique pas les circonstances.

Compte tenu du lieu particulier de son affectation lors de son décès et du fait qu'il n'est pas répertorié dans la liste des Morts pour la France du site officiel Mémoire des Hommes, tout laisse à penser qu'il serait mort des suites d'un accident qui serait survenu à la Poudrerie de Bergerac.

Question : Comment s'en assurer ? Existe-t-il des archives militaires de cette époque ouvertes au public ?

Je suis preneur de toute information. Merci d'avance.

Cordialement.

Michel

[jean vanmansart]

bonsoir Michel
Si cela peut vous aider, j'habite maintenant à 25 km de Bergerac et je peux aller me renseigner sur place la semaine prochaine, en espérant vous apporter une réponse positive.
Cordialement
Jean

[jean vanmansart]

bonsoir Michel
Mon épouse et moi sommes allés ce jour aux archives de Bergerac. Malheureusement elles s'arrêtent en 1912. Les archives se trouvent dans le vieux Bergerac au Musée du tabac.L'appariteur de ce musée, qui a eu l'amabilité de nous ouvrir les archives, nous a par la suite dirigé sur la mairie de Bergerac.
Des personnes très sympathiques nous ont accueillis. A l'état civil, on nous a photocopié l'acte de décès d'Omer Horent, qui travaillait bien comme soldat à la poudrerie, puisqu'il a un matricule.
Personne ne se souvient des accidents, car il y en a eu trop. La mairie ne possède pas d'archives sur la poudrerie et nous ont conseillé d'y aller.
Chose que nous avons faite, nous y avons rencontré plusieurs personnes qui savent qu'il doit exister des archives, mais ne savent pas où. En désespoir de cause, la responsable du service des relations humaines de la poudrerie ( elle se nomme madame Defives) nous a donné le numéro de téléphone de Monsieur M. ancien directeur de l'usine, qui lui pourrait éventuellement savoir où elles se trouvent. Je vous joins l'acte certifié conforme de ce jour de Bergerac
Cordialement
Jean

[Chtidichi]

il n'est pas répertorié dans la liste des Morts pour la France du site officiel Mémoire des Hommes

Bonjour
Michel, Sur le site MDH, il n'y a que les morts pour la France - répertoriés, connus- dont la liste est constamment mise à jour, mais il y a aussi les nombreux Non-MPLF dont les fiches ne sont pas accessibles publiquement.
Je passe en MP, ce n'est pas le moment de chatouiller la CNIL
Cordialement
Alain

[Evelyne2495]

Bonjour Michel et Jean

J'habite également non loin de Bergerac (Issigeac). De mon côté, j'ai fait des recherches sur Google. En tapant "accident poudrerie Bergerac 1917" on tombe sur un document retraçant l'histoire de la poudrerie au moment de la guerre.

Bonne lecture

Evelyne

[jean vanmansart]

bonsoir Michel et Alain
vous remarquerez peut-être encore la marque de politesse, mais je me sens personnellement éjecté, et le mot n'est pas trop fort. Une explication, mon épouse et moi-même nous sommes décarcassés pour essayer de répondre à la question de Michel ( je mets une majuscule par politesse)concernant un "soldat mort pour la france" à la poudrerie de Bergerac en 1917. Nous avons envoyé sur le site généachtimi les réponses obtenues. Or quelle n'est pas notre stupéfaction que Monsieur Michel a consulté le site ce jour à 17h57, sans remercier les personnes, nous sommes deux lui ayant fourni des informations, car nous habitons près de Bergerac? Je
tiens à signaler à la personne très polie qu'est MONSIEUR MICHEL et à l'autre accolyte qui se moque pas mal du CNIL, passe droit peut - être?, que j'ai pu avoir l'ancien directeur Monsieur M. de la poudrerie. Avec cet événement.
j'ai encore envie de dire que les bénévoles de bon aloi ( maître CAPELLO), n'ont qu'à aller se faire voir ailleurs. Je ne répondrai plus , ainsi que mon épouse à de tels questionnements et je vous mets personnellement à savoir les deux personnes susnommées dans ma liste de non contact
cordialement quand même car nous sommes bénévoles
Charline et Jean

[tiobiloute]

Or quelle n'est pas notre stupéfaction que Monsieur Michel a consulté le site ce jour à 17h57
Charline et Jean

Bonjour

Je peut comprendre votre "courroux" meme s'il est "excessif" ( et à l'autre accolyte qui se moque pas mal du CNIL ) , mais consulter le site ( sans doute un survol rapide ) ne veut pas forcément dire prendre connaissance des réponses aux messages en cours.J'ai pu constater a de nombreuses occasions que certains / taines réagissaient aux réponses qui leur étaient faites bien tardivement.Ils ne s'attendaient sans doute pas a avoir des réponses aussi rapidement , ceci pouvant expliquer cela.

amicalement

Ps : N'y a t'il pas aux archives du département de journaux de l'époque relatant les faits

[MICHELCOUSIN04]

Bonjour à tous,

Je remercie Jean pour sa proposition de recherche à Bergerac et aussi Evelyne, et Alain pour leurs informations.
Je suis désolé toutefois d'avoir suscité chez Jean quelque ressentiment épidermique pour ne pas avoir réagi immédiatement à son courrier m'informant de sa généreuse contribution. Effectivement,faute de temps, j'ai ces derniers jours survolé le site sans m'y attarder. Je le prie de m'excuser pour ce court silence qu'il a compris comme étant de l'ingratitude ou de la désinvolture.

Merci à Evelyne pour avoir trouvé ce lien documenté avec la Poudrière de Bergerac.

Bon week-end à tous

Cordialement.


Michel

[jean vanmansart]

bonjour Michel

Il est vrai que par moment j'ai des réactions assez épidermiques, mais de temps à autre, cela fait du bien. Désolé, que ce soit tombé sur vous, je m'en excuse.
L'ancien directeur de la " poudrière" m'a signalé par téléphone que certaines archives relatives à celle-ci on été transféré en 1963 à Périgueux, mais il ne sait dire quelles dates sont concernées par les dites archives
Il demeure encore celles des journaux de l'époque que j'essaierai d'obtenir
cordialement
Jean