Bonjour à tous
J'essaie de retracer l'histoire de ma grand-mère maternelle Célénie RENARD
Elle est née dans le Pas de Calais et habite jusqu'en 1913 au moins à Montigny-en-Gohelle (naissance d'une soeur)
avec ses parents Désiré RENARD et Angèle MERIAUX
Ensuite je suppose à cause de la première guerre la famille part dans le Gard
Ma grand-mère a eu deux enfants hors mariage en 1922 et 1923 à Billy-Montigny
Je pense qu'elle a du quitter la famille qui est restée dans le Gard.
En 1924 elle se marie à Billy-Montigny avec mon grand-père
Il est noté que ses parents vivent à Bessèges (Gard)
J'ai trouvé dans la presse de la Grande Guerre la liste des réfugiés 1917
La trace de mon arrière grand mère et 3 de ses enfants dont ma grand-mère
Je vous joins les extraits
Il est noté rapatriés
Donc voici ma question qui va peut-être vous paraître stupide,
mais qui est importante pour moi
Car dans ce journal il est plus souvent écrit réfugiés que rapatriés,
c'est pour ça que je m'interroge.
Rapatriés, cela veut-il dire que la famille avait été réfugiée dans le Gard et qu'elle revient dans le Pas-de-Calais ?
Où l'inverse qu'à cette date elle part à la Grande Combe ?
Merci pour l'aide que vous voudrez bien m'apporter
Catherine
Différence entre Réfugiés et Rapatriés ?
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Différence entre Réfugiés et Rapatriés ?
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Re: Différence entre Réfugiés et Rapatriés ?
Bonjour :
Rapatriés, c’est ramenés en France, dans une zone non occupée par l’ennemi, venant de l’étranger comme la Suisse, ou d’un endroit qui n’est plus en France mais en territoire ennemi, comme le Pas-de-Calais.
C’est donc ici : ramenés dans le Gard, qui n’était pas occupé.
Réfugiés, c’est enfuis n’importe où, où ils ont pu, pour échapper aux violences de la guerre. Certains se sont retrouvés en Suisse, grâce à la Croix-Rouge.
Rapatriés, c’est ramenés en France, dans une zone non occupée par l’ennemi, venant de l’étranger comme la Suisse, ou d’un endroit qui n’est plus en France mais en territoire ennemi, comme le Pas-de-Calais.
C’est donc ici : ramenés dans le Gard, qui n’était pas occupé.
Cordialement,
Pol
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Re: Différence entre Réfugiés et Rapatriés ?
Bonjour
Rapatriés c'est aussi dans ce cas précis ramenés dans sa région d'origine.
Des mineurs du Pas-de-Calais se sont réfugiés à Bessèges,(Gard ) ou à Carmaux Tarn ) .... pendant la guerre.Ils ont ainsi pu continuer à travailler surtout s'ils avaient une famille à nourrir.Certains ne sont jamais revenus.
Votre grand-mère étant née dans le Pas-de-Calais était donc réfugiés à Bessèges avec ses parents.
Il est souvent arrivés que les grands-parents âgés ne suivent pas.Sitôt que l'opportunité de revenir se présentait les réfugiés essayaient d'être rapatriés pour retrouver la famille restée au pays.,en zone occupée
Il semblerait que seule votre arrière-grand-mère soit revenue avec ses enfants,votre arrière-grand-père restant pour continuer à travailler
La guerre terminée votre arrière-grand-mère a fait le chemin en sens inverse pour retrouver son mari et s'installer à Bessèges.
Il faut rapprocher ces déplacements de vos données généalogiques

Rapatriés c'est aussi dans ce cas précis ramenés dans sa région d'origine.
Des mineurs du Pas-de-Calais se sont réfugiés à Bessèges,(Gard ) ou à Carmaux Tarn ) .... pendant la guerre.Ils ont ainsi pu continuer à travailler surtout s'ils avaient une famille à nourrir.Certains ne sont jamais revenus.
Votre grand-mère étant née dans le Pas-de-Calais était donc réfugiés à Bessèges avec ses parents.
Il est souvent arrivés que les grands-parents âgés ne suivent pas.Sitôt que l'opportunité de revenir se présentait les réfugiés essayaient d'être rapatriés pour retrouver la famille restée au pays.,en zone occupée
Il semblerait que seule votre arrière-grand-mère soit revenue avec ses enfants,votre arrière-grand-père restant pour continuer à travailler
c.boza a écrit : En 1924 elle se marie à Billy-Montigny avec mon grand-père
Il est noté que ses parents vivent à Bessèges (Gard)
La guerre terminée votre arrière-grand-mère a fait le chemin en sens inverse pour retrouver son mari et s'installer à Bessèges.
Il faut rapprocher ces déplacements de vos données généalogiques
Amicalement Graffit 



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Re: Différence entre Réfugiés et Rapatriés ?
Bonjour,
Lisez la conférence de l'ancien vicaire de Montigny : Cliquer ici
Dans la famille, on précisait bien qu'être rapatrié ne signifiait pas rentrer chez soi après avoir été évacué par l'armée, mais gagner une zone non occupée de la France.
Bien sûr, les réfugiés auraient bien voulu rentrer chez eux, mais l'armée les en empêchait s'il fallait traverser le front.
"Dans ce cas précis", à condition que Montigny-en-Gohelle se soit trouvé du côté français du front, ce dont je doute.
Lisez la conférence de l'ancien vicaire de Montigny : Cliquer ici
Le 11 mai 1917, nous dûmes quitter Montigny et aller… vers l'inconnu. Cet inconnu fut pour nous la région de Nivelles en Belgique, province du Brabant, et pour moi en particulier le charmant village de Rixensart, où je remplis les fonctions d'aumôniers à l'hospice d'Hénin-Liétard qui s'y trouvait réfugié. J'y restai dix-huit mois jusqu'au 20 septembre 1918, date à laquelle je réussis à me faire rapatrier par la Suisse. C'est bien allègrement, certes, que je quittai ces malheureux pays souillés par le Germain et gémissant sous la lourde botte, pour revoir enfin la France libre et me mettre à la disposition de Monseigneur.
Dans la famille, on précisait bien qu'être rapatrié ne signifiait pas rentrer chez soi après avoir été évacué par l'armée, mais gagner une zone non occupée de la France.
Bien sûr, les réfugiés auraient bien voulu rentrer chez eux, mais l'armée les en empêchait s'il fallait traverser le front.
Cordialement,
Pol
Pol
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Re: Différence entre Réfugiés et Rapatriés ?
Citation Graffit, "Certains ne sont jamais revenus"
Effectivement, certains y sont morts (trop jeunes, ou malades), ou ont épousé un ou une autochtone et y sont restés pour y fonder une famille...
Effectivement, certains y sont morts (trop jeunes, ou malades), ou ont épousé un ou une autochtone et y sont restés pour y fonder une famille...
Bien Cordialement,
Jean SALIN
[size=85][url]http://gw.geneanet.org/jeansalin[/url][/size]
Jean SALIN
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Re: Différence entre Réfugiés et Rapatriés ?
Pourtant si on se réfère aux définitions habituelles ce n'est pas vraiment le sensPôle Nord a écrit : Dans la famille, on précisait bien qu'être rapatrié ne signifiait pas rentrer chez soi après avoir été évacué par l'armée, mais gagner une zone non occupée de la France.
Réfugié Cliquer ici
Rapatrié Cliquer ici
Je pense que tout dépend de la date à laquelle ils ont évacué.
Les mineurs qui ont évacué ont pour la plupart fui le Nord au début de la guerre.Ils se sont expatriés vers d'autres régions.J'ai cru comprendre que c'était le cas pour la famille de Catherine c'est pourquoi je lui ai dit de conforter avec ses données généalogiques.
Sans aucun récit ni courrier familial il est très difficile de reconstituer le parcours.
N'oubliez pas Catherine de relire le sujet que vous aviez ouvert il y a quelques années maintenant que vous savez qu'ils ont évacué à Bessèges.Vous auriez certainement des détails concernant la date avec l'aide du Cercle généalogique de Fouquières-les-Lens Cliquer ici
Amicalement Graffit 



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Re: Différence entre Réfugiés et Rapatriés ?
Bonjour,
Je suppose qu'il faut s'incliner devant un "Super-VIP" qui cite un dictionnaire du CNRS, mais je continue à préférer croire ma grand-mère. Son village du Nord-Pas-de-Calais se trouvant en pays ennemi, elle a été "rapatriée" à l'autre bout de la France.graffit a écrit : ↑13 août 2020 21:15Pourtant si on se réfère aux définitions habituelles ce n'est pas vraiment le sens
Réfugié Cliquer ici
Rapatrié Cliquer ici
Cordialement,
Pol
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Re: Différence entre Réfugiés et Rapatriés ?
Bonjour
Nous avons la même attitude et continuerons à utiliser le vocabulaire de nos grands-mères.Raconter l'histoire de sa famille avec les mots que l'on a toujours entendus est la meilleure manière.
Vous m'avez semé le doute et c'est pourquoi j'ai cherché dans un dictionnaire afin d'aider Catherine pour l'interprétation des mots dans un journal,en dehors de tout contexte familial.
N'en prenez surtout pas ombrage !
Bonne journée

Pôle Nord a écrit :e continue à préférer croire ma grand-mère.
Nous avons la même attitude et continuerons à utiliser le vocabulaire de nos grands-mères.Raconter l'histoire de sa famille avec les mots que l'on a toujours entendus est la meilleure manière.
Vous m'avez semé le doute et c'est pourquoi j'ai cherché dans un dictionnaire afin d'aider Catherine pour l'interprétation des mots dans un journal,en dehors de tout contexte familial.
N'en prenez surtout pas ombrage !
Bonne journée
Amicalement Graffit 



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Re: Différence entre Réfugiés et Rapatriés ?
Bonjour,
Un mémoire de maîtrise sur le sujet a été déposé aux Archives Départementales du Nord : Florence PAYELLEVILLE, La question des réfugiés du Nord de la première guerre mondiale vue par la presse et la population - 1914-1921, Mémoire de maîtrise, Lille III, 1999, aux Archives Départementales du Nord sous la cote 3J824.
Florence PAYELLEVILLE distingue trois catégories de personnes :
1) les réfugiés proprement dits : il s'agit des populations qui fuient devant l'avance de l'ennemi ; cette situation se rencontre dès le mois d'août 1914, mais elle se prolonge durant toute la guerre au gré des offensives allemandes.
2) les évacués : il s'agit des personnes dont le gouvernement allemand décide de se débarrasser, le blocus auquel l'Allemagne est soumise dès 1915 ne lui permettant pas de nourrir les "bouches inutiles". C'est ainsi que les indigents de la région lilloise partent dès la fin mars 1915. L'évacuation se fait par chemin de fer à travers la Belgique, l'Allemagne, et la Suisse, pour arriver à Annemasse d’abord, puis à Evian (Haute-Savoie). Des convois sont organisés pendant toute la guerre.
Sont également compris dans cette catégorie les habitants des communes de la ligne de front qui sont évacués vers l'arrière, sur ordre de l'armée en retraite, qu'elle soit française en 1914 ou allemande en 1918. C'est ainsi que "la population de Douai, évacuée du 2 au 4 septembre 1918, fera, par étapes de 20 kilomètres par jour, le voyage à pied jusque Mons, puis Bruxelles, les malades des hôpitaux étant quant à eux évacués par bateaux" (Florence PAYELLEVILLE, opus cité, page 15)
En 1918, 135.000 Français environ seront ainsi refoulés en Belgique et jusqu’aux Pays-Bas par l’armée allemande en retraite. Ils seront rapatriés dès la fin 1918 et jusqu’à la mi-janvier 1919, soit par mer à Dunkerque et à Dieppe, soit par train à Nancy (Florence PAYELLEVILLE, opus cité, page 16)..
3) les rapatriés : il s'agit d'abord de civils internés en pays ennemi qui obtiennent leur rapatriement en France non occupée. Mais il s'agit aussi de civils volontaires. Les autorités allemandes se rendent compte en effet que les évacuations forcées sont insuffisantes pour faire face au problème du manque de nourriture. Elles organisent donc des départs par chemin de fer pour lesquels les payants sont prioritaires. On rejoint ici le cas précédent.
Par ailleurs, il existait à Annemasse, puis à Evian, un commissaire spécial qui interrogeait toutes les personnes arrivant en train après avoir voyagé, parfois pendant plusieurs mois, à travers la Belgique, l'Allemagne et la Suisse. Il envoyait alors un rapport au Ministre de l'Intérieur. Des copies de ces rapports sont conservés aux Archives de la Haute-Savoie à Annecy.
Par exemple, le Commissaire Spécial d’Évian envoie le 9 Janvier 1918 son rapport n° 3501 ainsi rédigé :
"J’ai l’honneur de vous faire connaître que le 10ème grand convoi comprenant 650 rapatriés, dont 118 hommes, 318 femmes et 214 enfants, est arrivé à Évian le 8 janvier 1918, au soir. Des déclarations qui nous ont été faites, nous avons recueilli les renseignements suivants :
La plupart de nos compatriotes sont originaires de Valenciennes ; ils ont été sur leur demande évacués le 16 décembre dernier et ont séjourné quelques jours en Belgique, à Hannut (Province de Liège) d’où ils viennent."
Le terme "rapatriés" est donc bien employé pour les personnes qui se trouvaient en territoire occupé et qui arrivent en territoire libre.
Cordialement.
Pierre Mayeur
Un mémoire de maîtrise sur le sujet a été déposé aux Archives Départementales du Nord : Florence PAYELLEVILLE, La question des réfugiés du Nord de la première guerre mondiale vue par la presse et la population - 1914-1921, Mémoire de maîtrise, Lille III, 1999, aux Archives Départementales du Nord sous la cote 3J824.
Florence PAYELLEVILLE distingue trois catégories de personnes :
1) les réfugiés proprement dits : il s'agit des populations qui fuient devant l'avance de l'ennemi ; cette situation se rencontre dès le mois d'août 1914, mais elle se prolonge durant toute la guerre au gré des offensives allemandes.
2) les évacués : il s'agit des personnes dont le gouvernement allemand décide de se débarrasser, le blocus auquel l'Allemagne est soumise dès 1915 ne lui permettant pas de nourrir les "bouches inutiles". C'est ainsi que les indigents de la région lilloise partent dès la fin mars 1915. L'évacuation se fait par chemin de fer à travers la Belgique, l'Allemagne, et la Suisse, pour arriver à Annemasse d’abord, puis à Evian (Haute-Savoie). Des convois sont organisés pendant toute la guerre.
Sont également compris dans cette catégorie les habitants des communes de la ligne de front qui sont évacués vers l'arrière, sur ordre de l'armée en retraite, qu'elle soit française en 1914 ou allemande en 1918. C'est ainsi que "la population de Douai, évacuée du 2 au 4 septembre 1918, fera, par étapes de 20 kilomètres par jour, le voyage à pied jusque Mons, puis Bruxelles, les malades des hôpitaux étant quant à eux évacués par bateaux" (Florence PAYELLEVILLE, opus cité, page 15)
En 1918, 135.000 Français environ seront ainsi refoulés en Belgique et jusqu’aux Pays-Bas par l’armée allemande en retraite. Ils seront rapatriés dès la fin 1918 et jusqu’à la mi-janvier 1919, soit par mer à Dunkerque et à Dieppe, soit par train à Nancy (Florence PAYELLEVILLE, opus cité, page 16)..
3) les rapatriés : il s'agit d'abord de civils internés en pays ennemi qui obtiennent leur rapatriement en France non occupée. Mais il s'agit aussi de civils volontaires. Les autorités allemandes se rendent compte en effet que les évacuations forcées sont insuffisantes pour faire face au problème du manque de nourriture. Elles organisent donc des départs par chemin de fer pour lesquels les payants sont prioritaires. On rejoint ici le cas précédent.
Par ailleurs, il existait à Annemasse, puis à Evian, un commissaire spécial qui interrogeait toutes les personnes arrivant en train après avoir voyagé, parfois pendant plusieurs mois, à travers la Belgique, l'Allemagne et la Suisse. Il envoyait alors un rapport au Ministre de l'Intérieur. Des copies de ces rapports sont conservés aux Archives de la Haute-Savoie à Annecy.
Par exemple, le Commissaire Spécial d’Évian envoie le 9 Janvier 1918 son rapport n° 3501 ainsi rédigé :
"J’ai l’honneur de vous faire connaître que le 10ème grand convoi comprenant 650 rapatriés, dont 118 hommes, 318 femmes et 214 enfants, est arrivé à Évian le 8 janvier 1918, au soir. Des déclarations qui nous ont été faites, nous avons recueilli les renseignements suivants :
La plupart de nos compatriotes sont originaires de Valenciennes ; ils ont été sur leur demande évacués le 16 décembre dernier et ont séjourné quelques jours en Belgique, à Hannut (Province de Liège) d’où ils viennent."
Le terme "rapatriés" est donc bien employé pour les personnes qui se trouvaient en territoire occupé et qui arrivent en territoire libre.
Cordialement.
Pierre Mayeur
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Re: Différence entre Réfugiés et Rapatriés ?
Bonjour
Tout d'abord Merci pour votre aide.
Donc si j'ai bien compris mes arrières grands parents de Montigny-en-Gohelle sont partis pendant la guerre
dans le Gard et en 1917, seule revient l'épouse avec 3 de ses enfants, dont ma grand-mère 15 ans.
Le mari reste dans le Gard pour y travailler.
Ensuite elle, Angèle MERIAUX serait reparti mais quand ?
Je trouve qu'ils vivent le 27.10.1923 à Bessèges, Cités au Mariage d'une de ses filles Florentine en Essonne
Ile de France (pas avec elle dans les 3 rapatriés, elle a 18 ans en 1917)
Ma grand-mère Célénie RENARD s'est mariée en 1924 à Billy-Montigny où elle vivait
De ce fait, je ne sais toujours pas si ma grand-mère est reparti après 1917 avec eux
et où elle a connu son premier compagnon.
Au recensement de la population de Montigny en Gohelle 1911 ils vivaient tous avec la mère d'Angèle MERIAUX
Adélaïde STIEVENARD veuve dont je ne trouve pas le décès.
A ce propos, comme elle avait 75 ans en 1914,elle n'a sans doute pas été évacuée avec sa fille ?
Que faisait on des personnes âgées ? Existait-il un hospice ou autre pour les personnes âgées ?
J'espère que vous avez compris mes propos !!
Bon week-end à tous
Catherine
Tout d'abord Merci pour votre aide.
Donc si j'ai bien compris mes arrières grands parents de Montigny-en-Gohelle sont partis pendant la guerre
dans le Gard et en 1917, seule revient l'épouse avec 3 de ses enfants, dont ma grand-mère 15 ans.
Le mari reste dans le Gard pour y travailler.
Ensuite elle, Angèle MERIAUX serait reparti mais quand ?
Je trouve qu'ils vivent le 27.10.1923 à Bessèges, Cités au Mariage d'une de ses filles Florentine en Essonne
Ile de France (pas avec elle dans les 3 rapatriés, elle a 18 ans en 1917)
Ma grand-mère Célénie RENARD s'est mariée en 1924 à Billy-Montigny où elle vivait
De ce fait, je ne sais toujours pas si ma grand-mère est reparti après 1917 avec eux
et où elle a connu son premier compagnon.
Au recensement de la population de Montigny en Gohelle 1911 ils vivaient tous avec la mère d'Angèle MERIAUX
Adélaïde STIEVENARD veuve dont je ne trouve pas le décès.
A ce propos, comme elle avait 75 ans en 1914,elle n'a sans doute pas été évacuée avec sa fille ?
Que faisait on des personnes âgées ? Existait-il un hospice ou autre pour les personnes âgées ?
J'espère que vous avez compris mes propos !!
Bon week-end à tous
Catherine
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